BREXIT : British out !
BREXIT : British out !
BREXIT, GREXIT, ou de la sortie de pays de l’Union Européenne. Tu as sûrement entendu parlé de la Grèce qui aurait été expulsée ou de la Grande-Bretagne qui a engagé son appartenance à l’Union Européenne.
Pourquoi un BREXIT ?
Tu fais les courses et tout coûte plus cher. Tu vas au boulot et tu croules sous de nouvelles normes de plus en plus contraignantes signées Union Européenne. Et quand tu crois que tout va mieux, des concurrents s’installent, qui plus est de l’étranger pour te concurrencer directement.
On te parle de chômage et tu vois les immigrés occupés les postes que tu voudrais peut-être occuper.
Tu accuses l’Union Européenne de tous les maux…
Comment arrive-t-on au BREXIT ?
Si les livres d’histoire et le général de Gaulle t’avait prévenu que les britanniques ne pourraient être miscibles dans une organisation dont ferait partie la France, il n’avait pourtant pas tort.
Si la Grande-Bretagne a imposé aux pays de l’Union Européenne son système d’éducation LMD, Licence Master Doctorat, elle ne s’est pas arrêtée à ce leadership et a su tirer de sa position de carrefour entre l’Union Européenne et le Common Wealth.
Et pour mieux signer cette réussite, la City de London est la premiere place financière d’Europe : l’écart se creuse de plus en plus entre gros salaires de travail dans la finance contre les autres métiers (scandale de la NHS, petits boulots…) et la communication sur la peur de perdre les possibilités de résister à une éventuelle crise ne peut plus être entendue par une population qui accepte de petits salaires.
Qui sera touché par le BREXIT ?
Si le pays est touché et que la livre sterling s’effondre, on pourrait se dire que ce seront les grands financiers qui en seront touchés.
Mais pour une élite aussi mobile, et aux capacités financières démesurées, et aux stratégies de plus en plus fines, c’est la défaite du pays et de ses contribuables qui sera peut-être la moins amortie, et la première population à subir une dégradation du niveau de vie, entrainant les autres pays dans une incertitude qui ne fait pas les affaires de l’économie et de la politique.
Que souhaiter pour l’Union Européenne ?
Si l’Union Européenne avait pour vocation l’unification des nations d’Europe, les cartes se redistribuent depuis que de nouveaux outils démocratisent de plus en plus l’information : internet, réseaux sociaux… De plus l’économie collaborative donne une chance de se passer d’instituts aussi lourds et aux décisions aussi larges que stupides au cas par cas.
On souhaiterait voir apparaitre des organisations plus proche des gens et de leur portefeuille.